\"Ça suffit les conneries !\" Peut-on se réinventer après la fonction publique ?

Quitter la fonction publique, c’est souvent perçu comme un saut dans le vide. Et pourtant, certaines le font… et rebondissent avec panache. C’est le cas de Priscilla Gore, qui a osé dire stop, pour construire un parcours professionnel plus aligné avec ses aspirations profondes.

Dans cet épisode, elle revient sur son histoire, ses doutes, ses choix, et surtout : sa manière très personnelle de se réinventer, entre entrepreneuriat, créativité et engagement.

Présentation de l'invitée : Pricilla Gore

« Prendre une disponibilité, c’est s'autoriser à explorer de nouvelles voies professionnelles sans perdre totalement le lien avec la fonction publique. »

Priscilla Gore a été juriste, puis professeure des écoles, avant de quitter la fonction publique. Aujourd’hui, elle est entrepreneure et créatrice de Rainbow Communication, une structure qui mêle accompagnement, création de contenu et liberté de ton.

Son témoignage met en lumière un parcours atypique, sans bullshit, mais avec beaucoup de sincérité.

Questions abordées dans l’épisode

Qu’est-ce qui pousse à quitter la fonction publique ?
Pourquoi le statut peut devenir une prison ?
Comment retrouver de la liberté sans tout perdre ?
Quels blocages (administratifs, mentaux, familiaux) se présentent ?
Que peut-on construire après ? Et comment ne pas se perdre en route ?

Décryptage des idées clés

Le déclic : écouter ce qui ne va plus

Priscilla raconte comment, après des années d’investissement dans ses métiers successifs, elle a ressenti un profond décalage entre ses valeurs et les logiques de l’institution. Son départ n’a pas été soudain, mais progressif — et assumé.

La disponibilité comme levier de liberté

Elle a fait le choix de la disponibilité. Non pas comme une pause, mais comme une ouverture vers autre chose. Ce statut lui a permis de tester, d’explorer, de créer. C’est une porte de sortie légale trop peu connue… et mal accompagnée.

Réinventer sa manière de travailler

L’entrepreneuriat n’est pas une fin en soi. Pour Priscilla, c’est surtout un moyen d’exister autrement professionnellement. Elle crée du contenu, accompagne des femmes en reconversion, et continue à militer à sa façon, loin des carcans.

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